Dans un univers infini, on ne peut nommer Dieu de manière adéquate en portant à leur maximum les perfections naturelles ; l'infinité divine ne saurait transcender l'infinité cosmique que sous le rapport de la puissance.
Entre autres contributions sur l'infini : L'infini est-il le dieu des métaphysiciens? par J.-L. Vieillard-Baron ; La transcendance de l'infini, par G. Rodis-Lewis ; La critique cartésienne des formes substantielles et la fin du monde ...
A l'entree de l'age classique, la definition traditionnelle des passions qui a encore largement cours dans les innombrables traites sur le sujet, est devenu intenable.